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Pour commencer, nous tenons à vous rassurer : ce sont les comptables qui apprennent l’automatisation à Yuki - et non l'inverse. En effet, notre logiciel Yuki doit être continuellement formé et vérifié par les comptables. Plus il traite d'informations, plus le logiciel devient intelligent et… plus les comptables en profitent ! Alors l'IA est-elle plus intelligente que nous ? Pas du tout. Mais par contre, elle permet un gain conséquent d'efficacité et de temps et offre dès lors des opportunités de croissance pour les comptables et les cabinets comptables ! Dans ce blog, nous examinons l'impact de l'intelligence artificielle et comment notre logiciel utilise l'IA.

Quelle est la différence entre l'IA et le machine learning ?

On confond régulièrement ces termes, à tort. Alors que l'IA se définit comme la technologie qui permet à une machine d'effectuer des actions humaines, le machine learning ou apprentissage automatique constitue plutôt une forme spécifique de cette intelligence artificielle. Le machine learning donne aux applications logicielles la capacité à prédire elles-mêmes les résultats, tandis que l'intelligence artificielle, comme celle utilisée par notre logiciel Yuki, permet de garder le contrôle à tout moment, grâce à des règles claires et préprogrammées . Si la nuance semble minime, elle fait toute la différence dans une automatisation sûre, maîtrisée à tout moment par les comptables.

Le machine learning donne aux applications logicielles la capacité à prédire elles-mêmes les résultats, tandis que l'intelligence artificielle, comme celle utilisée par notre logiciel Yuki, permet de garder le contrôle à tout moment, grâce à des règles claires et préprogrammées.

Comment fonctionne l'IA dans le logiciel de comptabilité de Yuki ?

L'intelligence artificielle fonctionne sur la base de la reconnaissance de formes et de règles claires de type « si > alors » : si je lis X, je dois faire Y. Simple et limpide. Le logiciel crée alors automatiquement les liens corrects. Cette reconnaissance de formes se fait dans notre logiciel Yuki basé sur la reconnaissance optique de caractères (OCR). Cette OCR scanne une facture de A à Z et convertit automatiquement l’image en texte. Ensuite, l'IDR (Reconnaissance intelligente des documents) interprète ces informations. Elle place les montants corrects dans les bonnes cases TVA et convertit le texte en champs dans l'écran de comptabilisation.

L'automatisation par l'IA est-elle suffisamment sûre ?

Yuki permet aux comptables d'automatiser des processus répétitifs, tout en maintenant un contrôle. Le système comprend un écran de contrôle convivial et performant qui minimise la marge d'erreur et permet au comptable d'intervenir vite et efficacement. En même temps, ce contrôle vise à former et optimiser le logiciel. Ce n'est qu'à partir du moment où 50 % des factures d'un fournisseur déterminé ont été correctement reconnues, que notre logiciel Yuki traitera la facture suivante de manière entièrement automatique. En tant que comptable, vous pouvez dormir tranquille : aucune erreur ne se glisse dans votre comptabilité.

Comment fonctionne l'automatisation dans Yuki ?

En tant que comptable, vous devez vous assurer que les règles standard de Yuki soient correctement définies, afin que le logiciel n'apprenne pas un comportement incorrect. C'est pourquoi il est essentiel de travailler de manière rigoureuse lors du démarrage d'un nouveau fichier et de nettoyer soigneusement votre base de données. L'automatisation de Yuki fonctionnera d’autant mieux. Car chaque fois que Yuki rencontrera une anomalie par rapport à ces règles, le système de contrôle avancé du logiciel signalera le document et vous enverra une notification. En outre, la structure de Yuki est conçue pour une automatisation exponentielle - du moins, si le logiciel est correctement utilisé.

Ce n'est qu'à partir du moment où 50 % des factures d'un fournisseur déterminé ont été correctement reconnues, que notre logiciel Yuki traitera la facture suivante de manière entièrement automatique.

Quel rôle jouent les pouvoirs publics dans le domaine de l'automatisation ?

De nombreuses entreprises et cabinets comptables jouent déjà la carte de la digitalisation, mais le soutien des pouvoirs publics reste extrêmement important. Si on veut parvenir à une transformation à grande échelle, il faut adopter une vision résolument digitale et se donner les moyens de la réaliser. Dès lors, il est crucial que les pouvoirs publics répondent aux besoins et souhaits actuellement exprimés par le secteur de la comptabilité et les entreprises, à savoir d'adopter et de standardiser la digitalisation, l'automatisation et l'intelligence artificielle. Voici cinq initiatives possibles :

  • Faire de l'informatique une matière obligatoire dans l'enseignement secondaire, afin que chacun(e) dispose au moins d'une base de connaissances et de savoir-faire technologiques.
  • Montrer aux étudiants en Fiscalité des exemples d'automatisation et des logiciels diversifiés, plutôt que les seuls logiciels traditionnels. 
  • Soutenir et récompenser les cabinets comptables et entreprises qui souhaitent investir dans la digitalisation, en accordant des subventions par exemple.
  • Aider les entrepreneurs à parfaire leurs compétences digitales. La facturation via Word ou Excel, c'est vraiment du passé.
  • Stimuler et soutenir des initiatives comme Peppol, UBL ou XML INVOICES, qui fonctionnent de manière uniforme et électronique.

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